Les Vacances de Frida

Les Vacances de Frida

Par la compagnie Taïko

Durée : 45 minutes
À partir de 3 ans

Présentation

En découvrant dans une valise des vieilles cartes postales adressées à sa grand mère et qu’elle n’a jamais postées, Frida se souvient de ses vacances de petite fille et décide, trente cinq ans après, de retourner à l’Hôtel de la Plage tenu par un vieux monsieur qui rugit comme une baleine.

Au fil de ses rencontres, de la visite de sites touristiques et de ses jeux de plage, Frida porte à la fois un regard candide et malicieux sur le monde qui l’entoure et donne un grand coup de pied clownesque et poétique à nos images d’Épinal sur les vacances et sur nous-mêmes. Elle nous fabrique sa petite recette du bonheur, avec beaucoup d’humour et de malice, et de l’amour… beaucoup d’amour.

Création de 2014 avec l’aide à la création de la Région Nouvelle-Aquitaine, les soutiens du Conseil Général de la Creuse et de la commune de Fresselines.

Note d’intention

Au départ il y a cette chanson qui me trotte dans la tête, un succès populaire des années 60 chanté par François Deguelt, une sorte de ritournelle qui parle du ciel, du soleil et de la mer, et qui évoque avec tendresse et nostalgie le charme désuet des vacances de notre enfance.
Au départ il y a aussi le souvenir ému , ça fait si longtemps, le temps passe si vite, mais on oubliera jamais qu’on s’est fait des copains et qu’on s’est bien amusés, c’était chouette quand même ces vacances !

Au départ il y a aussi le regard amusé, voire moqueur, sur les petits rituels et les habitudes du parfait vacancier qui s’apprête à profiter pleinement des douceurs de la plage, du soleil, et de la mer, un peu comme dans la chanson de François Deguelt…
… avec le souvenir des embouteillages sur la route des vacances, de la glace à la vanille qui fond trop vite et que l’on a pas le temps de déguster, des tubes de crème à bronzer et des mégots de cigarettes qui décorent nos châteaux de sable, de l’hôtel de la plage qui ne fait pas de soupe de poissons mais qui sert des saucisses-frites tous les soirs, des mamans rouges comme des tomates et des papas en short qui portent des chaussettes à rayures dans leurs sandales en plastique, et puis la fin des vacances avec ce goût d’inachevé qui nous donne envie de tout recommencer, c’est promis, on revient l’année prochaine !

Et pour finir, qui pourrait nous raconter tout ça, avec humour, avec tendresse, et une petite touche d’insolence et d’ironie sans jamais être irrespectueux, un clown bien sûr : Frida.

Équipe artistique

Texte : Daniel Violette

Auteur et comédien – Passionné de musique, il se consacre à la clarinette basse et aux percussions avant d’intégrer dans les années 80 la compagnie Georges Lafaye où il se forme à la marionnette et au théâtre d’objets. Suivent une tournée internationale de plusieurs années dans le music-hall et une reprise d’Antigone en bunraku à La Cartoucherie de Vincennes (Théâtre de La Tempête). Il travaille ensuite dans plusieurs troupes de théâtre jeune public avant de former la compagnie Taïko en 1994 à Fontainebleau (77). Co-directeur artistique de la cie avec Isabelle Violette, il a déjà écrit et réalisé une quinzaine de spectacles tout public et jeune public.

Mise en scène : Bertrand Saunier

Comédien, metteur en scène et créateur lumière – Comédien depuis 1989 dans plus de 25 spectacles pour 8 compagnies différentes. Depuis 1992, créateur lumière de plus de 15 spectacles et metteur en scène d’une dizaine de pièces du répertoire. Travaille avec le Théâtre de l’Esprit de Sel (Molière, Shakespeare, Plaute), la cie Viva la Commedia d’Anthony Magnier pendant une dizaine d’années, et participe à la création de la cie Les Moutons Noirs en 2009 (reprises de l’Avare de Molière, Ruy Blas de Victor Hugo…). Metteur en scène de la cie Taïko depuis 2008.

Scénographie et interprétation : Isabelle Violette

Auteure, chanteuse et comédienne – Elle s’est tour à tour passionnée pour le piano, l’anthropologie, le chant lyrique, le théâtre, l’accordéon, le dessin, la création textile et le violoncelle. Autant d’expériences qui ont nourri sa fascination pour les arts plastiques et les arts de la scène, et qui l’ont conduites tout naturellement à l’écriture, au jeu d’acteur, à la marionnette et au travail de clown selon les envies. Co-directrice artistique de la compagnie Taïko depuis 2001, elle a réalisé cinq spectacles qu’elle interprète en solo. Anime des ateliers conte, théâtre et marionnettes en collèges.

Quelques photos du spectacle

Un petit extrait?

Espace de jeu : ouv. 6m, p. 4m, h. 3m

Autonomie lumière dans petites salles, conduite lumière et régisseur salles équipées

Jauge : 200 spectateurs max.

Par la compagnie Théâtre T

Durée : 35 minutes
À partir de 2 ans

Présentation

TAu printemps, le mouton se déshabille et tandis qu’il refait sa toison, il nous laisse pour l’hiver une couverture blanche comme un champ de neige et chaude comme le plus beau des étés. Et voilà qu’au coeur de cette tendre blancheur apparaissent deux pieds malicieux, une tête, une drôle de petite bonne femme…
Entre ses doigts, les pelotes deviennent des planètes, les écharpes des escargots, et la poésie de la laine se tricote, maille après maille pour éclater en un tourbillon de couleurs…
Spectacle produit par le THEATRE « T » et le réseau de coproduction très jeune public d’Ile-de-France COURTE ECHELLE
La résidence du THEATRE « T » à l’Espace G.Simenon est soutenue par la commune de Rosny Sous Bois.
Avec le soutien du département de la Seine Saint Denis, de la DRAC Ile de France,  du Théâtre aux Mains Nues (75), de Daru-Thémpô pôle marionnette en Essonne/sud Ile de France (91).
Le THEATRE « T » remercie le Théâtre Rutebeuf de Clichy La Garenne (92) le Centre Social Rosa Parks de Bezons ainsi que son équipe de tricoteuses.

Note d’intention

Notre personnage-marionnette est né du désir de plonger nos mains dans cette belle et noble matière qu’est la laine. Au cours de nos improvisations, nous nous sommes laissées inspirer par le matériau, les fibres suintantes et odorantes des toisons, les formes et les couleurs des laines cardées, filées, teintes, en mèches, en pelotes… Nous y avons associé des objets en bois, tels que rouet, aiguilles à tricoter, petite brouette, bobines…

C’est ainsi que “maille après maille”, nous nous sommes retrouvées dans un univers visuel à la lisière de l’hiver, à la croisée du printemps : notre drôle de « petite bonne femme », touchante par sa maladresse et sa profonde détermination, y révèle et y décline par le jeu poétique avec la laine et les objets, la merveilleuse capacité d’étonnement du tout jeune enfant, ainsi que son goût pour l’expérimentation. Cela résonne comme un hymne joyeux à la vie, un cheminement qui mêle l’enfance et le bel âge de la vieillesse. Et comme en un palimpseste théâtral, les thèmes et les métaphores, doucement, se superposent :

Passages du blanc à la couleur, de l’un au multiple, de l’hiver au printemps, de la solitude à l’ouverture aux autres, du réel à l’imaginaire, avec en filigrane le plaisir du jeu, la nécessité vitale du jeu, pour qu’entre les doigts malhabiles du personnage, les pelotes deviennent des planètes, les écharpes des escargots, et que la poésie de la laine puisse éclater en un tourbillon de couleurs…

Pour accompagner cet univers foisonnant, poétique, la musicienne et chanteuse Marie Rubens, fidèle collaboratrice du Théâtre “T”, a réalisé une composition musicale où la voix et les sons d’objets se mêlent aux rythmes des instruments d’une façon très personnelle.

C’est ainsi que nous souhaitons partager avec les tout-petits en route sur le chemin de la vie, les sensations et émotions que font naitre notre rapport palpable au monde, à la nature, à l’animal, et de façon plus « impalpable », au temps, à l’imaginaire, au rêve et à la mémoire

Équipe artistique

Mise en scène : Christiane Lay
Interprétation : Christine Julien
Musique originale : Marie Rubens
Musique additionnelle : Arvo Pärt
Scénographie et création lumière : Denis Guivarc’h
Création marionnette : Christiane Lay
Illustration affiche : Géraldine Alibeu

Spectacle produit par le THEATRE « T » et le réseau de coproduction très jeune public d’Ile-de-France COURTE ECHELLE. La résidence du THEATRE « T » à l’Espace G.Simenon est soutenue par la commune de Rosny Sous Bois.Avec le soutien du département de la Seine Saint Denis, du Théâtre aux Mains Nues (75), de Daru-Thémpô pôle marionnette en Essonne/sud Ile de France (91).Le THEATRE « T » remercie le Théâtre Rutebeuf de Clichy La Garenne (92) le Centre Social Rosa Parks de Bezons ainsi que son équipe de tricoteuses.

Quelques photos du spectacle :

Revue de presse :

TT – TÉLÉRAMA

Autour d’une drôle de petite bonne femme,des ballots, un rouet, de la laine sous toutes ses formes, cardée ou non, filée, rangée en pelotes,en bobines colorées. Autant d’objets et de matière avec lesquels elle construit au fur et à mesure son monde, pliant une couverture, installant un petit jardin, ou disposant des morceaux de laine blanche comme des petits nuages…

Sur scène, une marionnette, une comédienne et de la laine, comme fil conducteur d’un récit muet.

Une poésie du geste et de la matière qui raconte les passages : d’une saison à l’autre, d’une couleur (blanche) aux autres, de la solitude au partage, du réel à la rêverie.

Une fantaisie visuelle, habillée d’une jolie création sonore, pour les tout-petits.

Un petit extrait?

Par la compagnie Théâtre T

Durée : 35 minutes
À partir de 2 ans

Présentation

TAu printemps, le mouton se déshabille et tandis qu’il refait sa toison, il nous laisse pour l’hiver une couverture blanche comme un champ de neige et chaude comme le plus beau des étés. Et voilà qu’au coeur de cette tendre blancheur apparaissent deux pieds malicieux, une tête, une drôle de petite bonne femme…
Entre ses doigts, les pelotes deviennent des planètes, les écharpes des escargots, et la poésie de la laine se tricote, maille après maille pour éclater en un tourbillon de couleurs…
Spectacle produit par le THEATRE « T » et le réseau de coproduction très jeune public d’Ile-de-France COURTE ECHELLE
La résidence du THEATRE « T » à l’Espace G.Simenon est soutenue par la commune de Rosny Sous Bois.
Avec le soutien du département de la Seine Saint Denis, de la DRAC Ile de France,  du Théâtre aux Mains Nues (75), de Daru-Thémpô pôle marionnette en Essonne/sud Ile de France (91).
Le THEATRE « T » remercie le Théâtre Rutebeuf de Clichy La Garenne (92) le Centre Social Rosa Parks de Bezons ainsi que son équipe de tricoteuses.

Note d’intention

Notre personnage-marionnette est né du désir de plonger nos mains dans cette belle et noble matière qu’est la laine. Au cours de nos improvisations, nous nous sommes laissées inspirer par le matériau, les fibres suintantes et odorantes des toisons, les formes et les couleurs des laines cardées, filées, teintes, en mèches, en pelotes… Nous y avons associé des objets en bois, tels que rouet, aiguilles à tricoter, petite brouette, bobines…

C’est ainsi que “maille après maille”, nous nous sommes retrouvées dans un univers visuel à la lisière de l’hiver, à la croisée du printemps : notre drôle de « petite bonne femme », touchante par sa maladresse et sa profonde détermination, y révèle et y décline par le jeu poétique avec la laine et les objets, la merveilleuse capacité d’étonnement du tout jeune enfant, ainsi que son goût pour l’expérimentation. Cela résonne comme un hymne joyeux à la vie, un cheminement qui mêle l’enfance et le bel âge de la vieillesse. Et comme en un palimpseste théâtral, les thèmes et les métaphores, doucement, se superposent :

Passages du blanc à la couleur, de l’un au multiple, de l’hiver au printemps, de la solitude à l’ouverture aux autres, du réel à l’imaginaire, avec en filigrane le plaisir du jeu, la nécessité vitale du jeu, pour qu’entre les doigts malhabiles du personnage, les pelotes deviennent des planètes, les écharpes des escargots, et que la poésie de la laine puisse éclater en un tourbillon de couleurs…

Pour accompagner cet univers foisonnant, poétique, la musicienne et chanteuse Marie Rubens, fidèle collaboratrice du Théâtre “T”, a réalisé une composition musicale où la voix et les sons d’objets se mêlent aux rythmes des instruments d’une façon très personnelle.

C’est ainsi que nous souhaitons partager avec les tout-petits en route sur le chemin de la vie, les sensations et émotions que font naitre notre rapport palpable au monde, à la nature, à l’animal, et de façon plus « impalpable », au temps, à l’imaginaire, au rêve et à la mémoire

Équipe artistique

Mise en scène : Christiane Lay
Interprétation : Christine Julien
Musique originale : Marie Rubens
Musique additionnelle : Arvo Pärt
Scénographie et création lumière : Denis Guivarc’h
Création marionnette : Christiane Lay
Illustration affiche : Géraldine Alibeu

Spectacle produit par le THEATRE « T » et le réseau de coproduction très jeune public d’Ile-de-France COURTE ECHELLE. La résidence du THEATRE « T » à l’Espace G.Simenon est soutenue par la commune de Rosny Sous Bois.Avec le soutien du département de la Seine Saint Denis, du Théâtre aux Mains Nues (75), de Daru-Thémpô pôle marionnette en Essonne/sud Ile de France (91).Le THEATRE « T » remercie le Théâtre Rutebeuf de Clichy La Garenne (92) le Centre Social Rosa Parks de Bezons ainsi que son équipe de tricoteuses.

Quelques photos du spectacle :

Revue de presse :

TT – TÉLÉRAMA

Autour d’une drôle de petite bonne femme,des ballots, un rouet, de la laine sous toutes ses formes, cardée ou non, filée, rangée en pelotes,en bobines colorées. Autant d’objets et de matière avec lesquels elle construit au fur et à mesure son monde, pliant une couverture, installant un petit jardin, ou disposant des morceaux de laine blanche comme des petits nuages…

Sur scène, une marionnette, une comédienne et de la laine, comme fil conducteur d’un récit muet.

Une poésie du geste et de la matière qui raconte les passages : d’une saison à l’autre, d’une couleur (blanche) aux autres, de la solitude au partage, du réel à la rêverie.

Une fantaisie visuelle, habillée d’une jolie création sonore, pour les tout-petits.

Un petit extrait?

Les Vacances de Frida